S’agissant de mener la guerre aux idées reçues de toutes sortes, et Dieu sait qu’il n’en manque pas, ce site est bien depuis sa création le reflet de mes divers écrits, que ceux-ci prennent la forme de livres ou d’autres publications. Un lectorat non négligeable me laisse penser que ses diverses pages, dont le contenu dépasse ce reflet et comporte aussi son originalité propre, peuvent intéresser. Ce combat ne serait ainsi pas qu’une vox clamantis in deserto; ou alors s’agirait-il d’un désert heureusement habité.
Pour ce qui est des billets de blog qui en constituent la porte d’entrée, sur la page d’accueil, et dont la destination est comme dans tout blog celle du dialogue, parcourir les rares commentaires et échanges qui les suivent suggère qu’ils ne rencontrent guère les vocations de commentateurs ou de dialoguistes espérées. C’est avec l’intention d’y réfléchir un peu, à l’occasion du centième, que je m’en tiens à ces quelques mots pour aujourd’hui, rejoignant le grand projet planétaire d’économie de ressources et d’empreinte minimale pour le meilleur ou pour le pire.