Confiture et déconfiture

Un, deux, trois, je complète une petite salve après avoir prédit au lecteur une période de confinement [ou déconfinement ?] blogistique pour cause de travail sur un projet de livre.

Comme je ne suis pas à une contradiction près, à l’image de l’inconscient qui paraît bien les ignorer, et que tracer deux mots m’est plus facile que de composer un dazibao [en ce moment, la série est dans le vert/rouge], je prends la liberté de m’étaler encore un peu aujourd’hui pour le troisième jour consécutif auprès de ce lecteur, ou de cette lectrice, devinant que je n’en compte guère plus [et non « plus guère »].

Je profite pour cela de cette semaine de pause suite à l’achèvement d’une première version du livre en question [pour en savoir davantage, rendez-vous à mon actualité en suivant le widget de bas de page], semaine durant laquelle je me livre [plutôt que bouquin] par ailleurs à la coupe et à la taille de l’exubérant maquis de notre petit chalet [et pas chat] perché.

Ah oui, je voulais parler de confiture et de déconfiture.

Eh bien voilà ! C’est fait.